Le sénateur à vie et président honoraire Joseph Kabila Kabange reste une référence pour plusieurs, le fait qu'il ait favorisé une alternance pacifique en République démocratique du Congo, nombreux sont ceux qui le considère comme modèle, c'est le cas de Kennedy Mbuyi, acteur politique, évoluant à Goma au Nord-Kivu. 

Selon lui, Joseph Kabila Kabange reste un leader intemporel et modèle pour plusieurs dans la sphère politique, parlant du récent événement qui concerne la tenue des élections, celui-ci a fait savoir que Joseph Kabila est le socle de l'alternance démocratique et pacifique. 

''Dans exactement deux jours, le leader Intemporel, mon modèle politique, le 1er Sénateur à vie de la RDC va naître...Joseph KABILA KABANGE, le socle de l'alternance démocratique et pacifique. Que vive vos 50 ANS le Raïs'', a commenté laconiquement le Kabiliste Kennedy Mbuyi

En rappel, Joseph Kabila, est né le 4 juin 1971 à Hewa Bora dans le territoire de Fizi (province du Sud-Kivu). Il a été président de la République démocratique du Congo du 17 janvier 2001 au 25 janvier 2019 et sénateur à vie depuis le 15 mars 2019.

Fils du président Laurent-Désiré Kabila, il succède à celui-ci après son assassinat, le 16 janvier 2001, au cours de la deuxième guerre du Congo. Joseph Kabila est le plus jeune chef de l'État kino-congolais. Il a été à la tête de l'Alliance pour la majorité présidentielle (AMP) et crée en 2002 le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD).

En 2006, il est élu au second tour de l'élection présidentielle. Il est réélu en 2011 tandis que son principal adversaire, Étienne Tshisekedi, conteste les résultats. En 2016, alors qu'il ne peut se représenter pour un troisième mandat, il ajourne sine die l'élection présidentielle qui devait avoir lieu, provoquant une crise politique.

Félix Tshisekedi lui succède en 2019, établissant la première alternance pacifique dans l'histoire du pays. Les conditions dans lesquelles se déroule cette alternance sont cependant très controversées en raison de forts soupçons de fraude électorale pesant sur l'élection présidentielle de 2018.