Dans une situation sécuritaire préoccupante en ville de Goma, ville occupée par le M23 depuis plusieurs semaines, de multiples cas des menaces sont rapportés à l’encontre des personnes de divers horizons.

C’est le cas du journaliste photographe Blaise Irenge de l'Agence Congolaise de Presse qui dit recevoir des menaces de mort de la part des personnes inconnues.

Loin d’être un cas isolé, les menaces qui pèsent sur les journalistes, surtout dans des zones de conflit, soulèvent des inquiétudes quant à la sécurité des reporters et à la liberté de la presse.

Dans des contextes comme celui-ci, il est essentiel que les organisations de défense des droits de l'homme et les instances internationales prennent des mesures pour protéger les journalistes et faire pression sur les autorités locales afin de garantir leur sécurité.

Le cas du journaliste photographe Blaise Irenge de l'Agence Congolaise de Presse (ACP) suscite une vive inquiétude parmi les professionnels des médias et les défenseurs des droits de l'homme car, affirme-t-il, "ce n'est pas une première fois qu'il soit dorectement menacé par des inconnus".

Ceci rappelle les risques accrus auxquels sont confrontés les journalistes dans ce contexte d'instabilité, particulièrement dans l'Est de la République Démocratique du Congo où les tensions continuent de sévir.

Les autorités et les organisations de médias ont souvent dénoncé de tels actes appelant à des enquêtes rigoureuses et un travail de la justice afin de condamner leurs auteurs.

L’on avance que les menaces contre des journalistes ne sont pas seulement un acte direct contre la personne concernée, mais constitue une entrave à la liberté d'expression et la capacité des médias à fonctionner librement.

Ainsi, l’on soutient qu’il est essentiel que la communauté internationale ainsi que les organisations locales et internationales réagissent de manière proactive afin de garantir la sécurité des journalistes et de créer un environnement où la liberté de la presse est respectée.