Ce jour-là, 13 mai comme aujourd’hui, mais en 1981, à 17h19, Place Saint-Pierre à Rome, des coups de feu claquent : le Pape Jean Paul II est victime d'un attentat.

Il reçoit 3 balles tirées à moins de 6 mètres par Mehmet Ali Agça, un jeune turc de 23 ans.

Il parvint à s'en sortir miraculeusement

Jean-Paul Il (de son vrai nom Karol Wojtyla) est le 1er souverain pontife non italien depuis 1523.

Polonais au nom quasi imprononçable, il a été élu trois ans et demi plus tôt, le 16 octobre 1978, par 75 des 111 cardinaux.

Lorsque les 3 balles sont tirées, le pape s’affaisse dans les bras de son secrétaire particulier, Mgr Stanislaw Dziwisz.

Les trois balles tirées à moins de 6 mètres par Mehmet Ali Agça ont atteint le Saint-Père au coude droit, à l’index de la main gauche et à l’abdomen.

41 ans après, le mystère autour de cet attentat n'est toujours pas éclairci.

On connaît les coupables, mais on ignore toujours l'identité des commanditaires qui avaient intérêt à faire disparaître le pape polonais.

Après avoir été opéré, Jean Paul II resta 4 jours en réanimation à l’hôpital Gemelli.

Le 17 mai, il célébra sa messe et, de son lit, lança un message : « Je me sens très proche des 2 personnes blessées en même temps que moi. J'ai pardonné le frère qui m'a tiré dessus. »

 

Avec Benjamin Babunga, via www.babunga.alobi.cd




nzungu

nzungu - 20/05/2022 10:45 - Répondre 

Bien