Quelle leçon devons-nous tirer de la journée internationale de la biodiversité en RDC , 
Voilà une réflexion pour ce 22 mai, date à la quelle l'humanité célèbre la journée de la biodiversité.
En se basant sur la place que la protection de l'environnement occupe en RDC, de part ses divers potentiels dans ce domaine entre autres, les parcs nationaux, les zones aquatiques, les forêts, etc.
Il a était constaté que cette dernière garantit certains articles au sein de sa constitution qui protègent ce secteur, mais qui sur le plan pratique semble avoir encore un grand nombre des problèmes, où le cas récent reste le Parc National des Virunga. Ce patrimoine mondial fait toujours l'objet ds conflits entre les populations riveraines et les gouvernants, mais aussi d'autres attaques des groupes rebelles contre les agents commis à la garde du parc. 
Hors ce patrimoine certaines régions aquatiques restent entre les mains des groupes rebelles qui pullulent dans certaines entités du pays, d'où la mauvaise pratique des activités des pêche, causant des dommages à la biodiversité aquatique du pays. Ceci cause par ailleurs la fuite de certaines espèces vers les pays voisins.

Cette menace reste valable dans toutes les régions de la République. C'est le cas des centres urbains où la spoliation des terrains et morcellement  des parcelles occasionnent une perte de certaines espèces et cela à cause de la destruction de leur biotope.
Sur cette question,   certaines organisations qui œuvrent dans le domaine de la protection de l'environnement estiment qu'il y'a urgence et nécessité d'insérer un point relatif à la priorité environnementale  au sein de son article 12 de l'ordonnance 74-148 du 02juillet 1974 telle que modifiée à ce jour, et en même temps, renforcer des conditionalités visant à protéger les espaces contiguës aux aires protégés.

En son article 12, cette  ordonnance donne les critères déterminant la priorité d'obtention des concessions en cas de concurrence pour l'attribution des parcelles et ce, au regard de l'usage donné auquel elle est destinée. 

Ils pensent qu'à  l'époque, la question environnementale n'avait pas encore pris l'ampleur qu'elle a à ce jour, d'où la possibilité d'insérer un point, lui offrant une priorité dans les critères qui orientent l'autorité quant au règlement d'une concurrence soulevée autour de l'obtention des concessions.

Ainsi, au regard de son importance, une concession sollicitée pour un usage environnemental devrait recevoir préférence aux autres  usages (résidentiels, industriels, agricoles, élevage...).




Jérémie M.

Jérémie M. - 23/05/2020 10:46 - Répondre 

Vraiment, le territoire national soit securisee