La fille de l'ancien président angolais José Edwardo Do Santos et son conjoint sont accusés d'avoir causé des pertes de plus d'un milliard de dollars à l'État angolais.

Interrogé à ce sujet par la RFI, le sujet congolais s'est dit consterné en rappelant que le procès qui aboutit à cette décision s’est tenu dans le secret le plus total, c’est-à-dire que ni lui ni son épouse ni leurs avocats ni les mandataires qui représentent leurs sociétés n’y ont été associés.

Pour lui, c’est un procès complètement à sens unique, avant de fustiger : Ce n’est pas comme ça que fonctionne l’État de droit. Il faut qu’on puisse se défendre et mettre en cause les pièces et les accusations qui sont portées contre soi.

De son côté, la justice angolaise le présente comme des mesures conservatoires en raison d’importants manques à gagner créés par des activités que les accusés avez menées conjointement avec des sociétés d’État, c’est-à-dire essayer d’éviter d’avoir plus de pertes…