Par Claudel Lubaya

Après ses grossiers mensonges de faire du Congo l'Allemagne d'Afrique, de faire des Congolais des milliardaires, de créer 6.500.000 emplois, de construire l'université de Mbandaka aux standards internationaux, d'avoir trouvé la clé pour mettre fin à la famine au Congo, etc, etc, Félix Tshisekedi ignore qu'il y a à peine 12 mois, il était en campagne électorale au cours de laquelle il avait fait de multiples promesses au peuple, plus spécialement à la jeunesse.

A cette catégorie de notre population, le président de l'Allemagne d'Afrique s'était engagé à donner 6.500.000 emplois en 5 ans, soit 1.300.000 emplois par an.

La première année, soit 2024, s'achève dans moins de 50 jours sans qu'aucune de ses promesses électorales n'ait été tenue.

Bien au contraire, hier à Kalemie, il s'est encore dédit, comme à ses habitudes, face à la jeunesse en inventant une nouvelle théorie mensongère du reste, selon laquelle partout dans le monde, l'État n'est jamais créateur d'emplois ! Si tel était le cas, pourquoi avoir pris l'engagement lors de la campagne ?

Il fait ainsi preuve d'une incapacité manifestement congénitale à s'assumer et à respecter sa parole.

Toute sa gouvernance est fondée sur le mensonge public, les contre-vérités et la victimisation sur fond d'irrationalité.

A chaque fois qu’il est mis à nu par ses propres mensonges (Allemagne d'Afrique, 6.500.000 emplois, Constitution des étrangers, écrite à l'étranger, article 217, etc), Tshisekedi rejette la responsabilité de ses tares sur ses contradicteurs politiques qu'il présente faussement comme "ennemis de la Nation".

Il considère ainsi ceux qui s’opposent légitimement à son ambition d'un pouvoir à vie comme des "traitres" à la solde des "ennemis extérieurs" !

En tout état de cause, quoique fasse Félix Tshisekedi, quoiqu’il dise, les Congolaises et Congolais ne sont plus dupes. Ils savent que chaque fois qu'il ouvre la bouche, il ment.

C'est le cas de tout le tissu de mensonges qu'il tente de construire pour justifier sa volonté de se maintenir indéfiniment au pouvoir par le changement de la Constitution.

Par Claudel Lubaya




Joseph Seven

Joseph Seven - 29/11/2024 19:23 - Répondre 

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