Le pays, qui compte plus de cent millions d’habitants, connaît un ralentissement relatif du coronavirus, qui a officiellement affecté 161 000 personnes et en a tué près de 9 000. 

La décision du gouvernement s’explique par le fait que le corps médical égyptien, surnommé « l’Armée blanche », a subi de très lourdes pertes.

Depuis le début de la pandémie, plus de 200 médecins ont été tués par le Covid-19, sans parler du reste du personnel soignant.

Au pic de la pandémie les médecins avaient même menacé de se mettre en grève et avaient obtenu une amélioration de leurs conditions de travail.

La deuxième étape de la vaccination devrait concerner les personnes souffrant de comorbidités, puis les plus de 65 ans, avant de s’étendre gratuitement à toute la population âgée de plus de 18 ans.

Les Chinois ont été les premiers à proposer leurs services pour faire de l’Égypte, où le vaccin Sinopharm devrait être fabriqué, une tête de pont vers l’Afrique.
Le gouvernement a aussi annoncé un accord avec l’Anglais AstraZeneca pour l’achat de 20 millions de doses de vaccin.




Samuel ABIBA

Samuel ABIBA - 24/01/2021 17:11 - Répondre 

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