
Depuis quelques jours, les réseaux sociaux s’enflamment autour d’une affaire qui oppose Idris Perez à la famille de sa petite amie, Ketsia, une jeune femme de 19 ans.
Des accusations graves de kidnapping et d’abus ont été lancées contre lui, « sans la moindre preuve, ternissant ainsi la réputation d’un homme connu pour sa droiture et sa générosité. »
Derrière cette campagne de dénigrement, plusieurs observateurs voient plutôt une tentative désespérée de salir un homme qui a longtemps soutenu cette famille sur tous les plans.
En effet, selon des sources proches d’Idris Perez, l’homme a consacré une grande partie de ses ressources à aider la famille de Ketsia, qu’il considérait comme la sienne.
Logement, besoins matériels, soins, santé, alimentation, assistance financière : rien n’était de trop pour celui qui croyait sincèrement en un avenir partagé avec la jeune femme.
Mais lorsque cette famille a constaté que les avantages dont elle jouissait commençaient à s’estomper, elle aurait choisi la voie la plus facile et la plus destructrice : accuser pour détruire.
Ces accusations, relayées sans vérification sur les réseaux sociaux, ont pris des proportions inquiétantes. Pourtant, aucun élément concret ne vient étayer les faits reprochés à Idris.
Ketsia elle-même, selon des proches, reconnaît que son compagnon n’a jamais eu le comportement qu’on lui prête aujourd’hui.
Bien au contraire, elle aurait souvent confié que la générosité d’Idris était devenue, pour sa famille, une source d’abus et de dépendance.
Aujourd’hui, Idris Perez réclame simplement que la vérité soit rétablie.
Il continue de croire en la justice et en la force du discernement du public.
Car au-delà de l’injustice qu’il subit, cette affaire met en lumière un drame social plus large : celui de la manipulation, de l’ingratitude et de la cruauté d’une époque où la réputation d’un homme peut être détruite par un simple mensonge.
Avec Tommy Lupemba.