Les questions de la vulnérabilité des enfants face aux changements climatiques au cœur de la célébration de la journée mondiale de l'enfance.

En RDC c'est sous le thème « la voix de jeunes générations face aux enjeux climatiques ce samedi 20 novembre 2021

Au moment où le monde continue à connaître les effets néfastes du changement climatiques et dont les enfants restent des victimes parmi d’autres, UNICEF RDC, bureau du Nord-Kivu, a organisé une séance d’échanges pour rappeler combien il est important de laisser les enfants s'expriment pour influencer toutes les instances de prise de décision.

Cette structure de l’ONU a rappelé que la crise climatique touche plusieurs enfants du monde.

Elle a invité la RDC et les états africains en général, à prendre des décisions et engagements sérieux pour offrir aux jeunes et enfants un avenir durable.

« C'est ici l'occasion d'inviter toutes les autorités congolaises à l’application des engagements pris lors de la COP26 il y a quelques semaines, car le récent rapport publié par l'UNICEF place la RDC 9ème en ce qui concerne la vulnérabilité des enfants face aux chocs climatiques. »

Madame Marie Thérèse, cheffe de division provinciale en charge du genre, famille et enfant, a fait savoir que face à cette situation, il est important d’écouter divers avis. 

Les enfants de la Province du Nord-Kivu au travers le comité urbain des enfants de la ville de Goma, ont par ailleurs adressé des recommandations portant notamment sur les mécanismes visant à mettre fin à la pollution de l'air dans la province du Nord-Kivu dont ils sont victimes, mais également l’accompagnement de certaines structures qui ouvrent dans l'assainissement en province, et de manière particulière en ville de Goma.

Jean Metenier, représentant de l'UNICEF dans la région, a souligné que face aux changements climatiques et la dégradation de la biodiversité qui menacent directement la capacité des enfants grandir et à s'épanouir, son organisation réitère son engagement à aider les jeunes à agir pour protéger leur avenir et celui de la planète.




Richard KUBUYA

Richard KUBUYA - 20/11/2021 21:37 - Répondre 

Bien