Atelier de la sensibilisation de la jeunesse du Grand-Nord sur le noyau de réflexion de la jeunesse du territoire de Beni sur l'appropriation de la résolution 2250 des nations unies et la prévention des violences communautaires.

Cette activité a été organisée au poste frontalier de Kasindi dans la salle de l'hôtel Jolie rêve, ce Jeudi 04 Avril de l'année en cours sous l'appui technique et financier de la section des Affaires civiles de la MONUSCO sous l'exécution du conseil Territorial de la jeunesse (CTJ) Beni-territoire.

"Nous avions une activité couplée à la restitution et la sensibilisation des jeunes en matière de la résolution 2250 des nations unies pour prévenir les violences communautaires..." Indique Janvier Katsurana 3ème vice-président du conseil Territorial de la jeunesse.

En présence d'une quarantaine des participants, constitué des autorités locales et des représentants des structures des jeunes légales et des faits, Cette activité vise selon les organisateurs, renforcer le leadership des jeunes dans la construction de la Paix, la cohésion sociale et la lutte contre la désinformation et les discours de haine.

Janvier Katsurana abordé par la presse au sortir de cette activité, il a recommandé les participants de s'approprier les notions apprises et les restituer dans leurs structures.

"Nous avons recommandé aux participants de restituer tout ce que nous venons d'apprendre sur la résolution 2250 qui repose sur 4 pilier qui sont : la protection, prévention, partenariat et participation et ce sur base de ces piliers où reposent notre plan communautaire que nous avons élaboré qui s'adapte au plan annuel que le gouvernement congolais a fixé dans le cadre de l'appropriation de cette résolution..."

La Résolution 2250 est une résolution thématique qui traite des sujets de la jeunesse dans une perspective de paix et de sécurité internationales. 
Reconnaissant les efforts des jeunes dans la consolidation de la paix, il fournit un ensemble de lignes directrices sur la base desquelles les politiques et programmes seront élaborés par les États membres, l'ONU et la société civile.