La Fédération internationale de football (FIFA) a annoncé, ce 25 juin 2020, que l'Australie et la Nouvelle-Zélande co-organiseront la Coupe du monde féminine 2023.

Les 37 membres du Conseil de a Fifa, réunis en visioconférence, ont décidé que ces deux pays succèderont à la France, dernier organisateur de la Coupe du monde féminine. Après le retrait du Japon lundi, trois jours seulement avant la décision du comité exécutif de la Fifa, les deux pays n'avaient plus qu’à affronter un seul adversaire, la Colombie.

L'édition 2023 sera la première à réunir 32 équipes, contre 24 précédemment, dans le but d'accroître encore la popularité du versant féminin du sport, longtemps écrasé par les compétitions masculines.

La dernière édition en France a été suivie par plus d'un milliard de personnes, une audience inimaginable il y a quelques années encore.

Dans le dossier des vainqueurs, un argument de poids a certainement pesé dans la balance. Ce mondial austral sera disputé dans 7 villes d'Australie et 5 de Nouvelle-Zélande, et dans 13 stades dont un seul à construire, à Sydney.

Notez par ailleurs que depuis sa création en 1991, le Mondial féminin n’avait jamais été organisé en Océanie.




Job KAKULE

Job KAKULE - 26/06/2020 14:03 - Répondre 

Bien