Par Patrick Nkanga.

L’on ne peut pas faire 10 mètres dans un environnement de propreté, sans croiser de la saleté, de Mont-Ngafula à Maluku.

Il faut une véritable politique publique qui intègre tous les acteurs étatiques de la Ville pour résorber cette question.

La lutte contre l’insalubrité au sein de la ville de Kinshasa doit être la priorité des priorités du Gouvernement provincial.

Nul besoin d’effet d’annonce pompeux, avec caméra et quelques brouettes.

Il faut définir une véritable politique publique pérenne, en redynamisant tout d’abord, les services de salubrité de la ville, commune par commune, en y adjoignant des moyens conséquents.

S’il échet, mettre en place une Grande Direction Provinciale qui n’aura pour mission que de veiller à la salubrité de la ville.

Il faut arrêter avec les ONG qui balaient, malgré leur bonne foi !

On ne peut pas gérer une ville qui a plus d’habitants que le Gabon, le Congo-Brazaville, le Rwanda ou encore le Burundi, avec des « mesurettes. »

Il faut des véritables politiques publiques de grande envergure, chiffrées et planifiées.

Certains évoqueront, la question des moyens. Les moyens sont là.

Il est question de s’asseoir, de réfléchir et surtout de faire preuve de bonne gouvernance.

Kinshasa est la porte d’entrée de notre pays, elle doit être propre.

Nous ne pouvons pas nous habituer à la saleté et à ses conséquences néfastes sur la santé de chacun d’entre nous !

Par Patrick Nkanga.




Joseph Seven

Joseph Seven - 24/08/2024 08:25 - Répondre 

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