L'achat et la revente des fers usagés  communement appélés "bichuma" n'est pas une façon d'encourager la délinquence juvenile, c'est plutôt un moyen de lutter contre la salubrité dans la ville de Goma et favorisant le reciclage; c'est qu'a fait savoir une  dame pratiquant ce métier dans un échange nous accordé ce lundi 06 janvier 2020. 
Pour elle, par ce metier elle parvient à repondre aux besoin de sa famille : "l'argent n'a pas d'odeur, l'essentiel est qu'il vous aide à assumer vos responsabilité familliales" a-t-elle rencheri.
Parailleur, elle s'est dite moins concernée par la provenance des ces dechets, sauf pour les objets encore en bon état pour n'est pas favoriser le vol.